Regarde-moi comme j’en suis réduite à sucer une gode à Limoges alors que je devrais avoir les lèvres nouées fermement autour du nœud de mon maître. D’ailleurs, en parlant de nœud, j’espère bien que mon maître aura justement la maîtrise des siens. Oui, pluriel, je parle pas juste de son calibre.
Parce que, mon masochisme à moi, il trouve tout son épanouissement dès lors où on m’attache et on me serre pour me réduire à un état d’impuissance total.
Du coup, je n’accepterai – pour une soirée seulement – qu’un maître qui saura maîtriser les arcanes du bondage. Les autres peuvent s’abstenir de me contacter. Il le doivent même.
Quant aux autres, je peux pas les obliger à me contacter mais je peux en tout cas les encourager. Parce que si vous me soumettez comme il faut, je vous le rendrai bien.
